Un film munichois ?
Voilà un film dont la place dans l’histoire du cinéma français est complexe et, d’une certaine façon, très ambiguë. Un film plaisant, attachant même, orné de bonnes trognes de bons acteurs et décoré par une jolie fille, Annie Vernay, dont le nom serait sans doute plus notoire si elle n’avait attrapé le typhus sur le paquebot qui l’emmenait à Hollywood. Elle est morte alors qu’elle n’avait pas 20 ans. Les otages était le cinquième film qu’elle tournait, juste après Werther du grand Max Ophuls. Glaçant, n’est-ce pas ? Read the rest of this entry »
Statues à déboulonner.
La mazurka des millions.
Impasse du 5 à 7…
« En général je ne me plains pas des croupes séduisantes »
Danse macabre.
« La voix, drôle de voix, profonde et saccadée »
Jambonnettes de grenouilles
Miroir aux alouettes.
Je te tiens par la barbichette.