Fascination du gouffre.
Il y a quelque chose de violemment pervers dans la fascination qu’on peut éprouver pour une daube absolue (qu’on sait être une daube avant même de l’avoir regardée, veux-je dire) et pour l’attirance qu’on a à perdre deux précieuses heures de sa vie et une soirée qu’on aurait pu consacrer à autre chose de plus intelligent. Mais bon ! Il faut bien le dire : après avoir trouvé détestable, il y a près de quinze ans, la matrice du concept (voilà de bien grands mots pour une si méprisable chose !), c’est-à-dire le premier Camping, voilà que, en pleine connaissance de cause, j’ai regardé hier Camping 2. On peut appeler ça, en quelque sorte, la fascination de l’échec ou je ne sais quoi de lamentable. Il est vrai que, si d’un autre côté, on m’avait proposé à la télévision, un Bergman ou un Antonioni, j’aurais tout de même choisi Onteniente, parce qu’entre la prétention et la nullité, je préfère la nullité.
Faire gaffe au Grand méchant loup !
Foutaise.
Espaces infinis sans silences éternels.
Bonne compagnie au c
Le bout de la route.
Ascenseur pour l’échafaud.
Cuando calienta el sol.
La victoire, c’est la fuite.
Foule sentimentale.