Vanité et vacuité.
Je l’avais déjà noté lorsque j’avais regardé L’Italien des Roses, le premier long métrage de Charles Matton qui n’en n’a réalisé que quatre, au demeurant, ce qui est déjà beaucoup trop pour un artiste plus susceptible d’intriguer l’amateur par son œuvre plastique (les fameuses boîtes) que par son sens du récit. J’écrivais alors : On sent bien que c’est un intellectuel qui est derrière la caméra et qui cherche à entraîner le spectateur dans une structure compliquée. Le malheur est que le spectateur ne se laisse pas faire comme ça, et que ce qui pourrait servir de support à une rêverie alcoolisée ou -certainement encore davantage – à une dérive entraînée par des substances hallucinogènes, aboutit à un enquiquinement majuscule.
La main passe ! Rien ne va plus !
La vie est un long fleuve tranquille.
Ce soir les jupons volent !
Les inconnus dans la maison.
Voici le temps des assassins.
Les voyageurs de l’impériale.
« La Ronde » en minuscule.
Ni flacon, ni ivresse.