Drôle de frimousse.
Comment comprendre le goût marqué des Anglo-Saxons pour le travestissement, le déguisement qui fait miroiter des ambiguïtés sexuelles quelquefois assez scabreuses ? La première fois que j’ai vu La grande illusion de Jean Renoir, j’avais été assez frappé et un peu choqué de découvrir les prisonniers britanniques costumés en femmes lors de la représentation théâtrale (qui se conclut par une vibrante Marseillaise à l’annonce de notre reprise de Douaumont). Un peu plus tard les aventures de Tony Curtis et de Jack Lemmon dans Certains l’aiment chaud de Billy Wilder) ; puis, pêle-mêle Tootsie de Sydney Pollack, Victor-Victoria de Blake Edwards, Madame Doubtfire de Chris Colombus…Décidément les public scholls et la marine à voile ont laissé des traces… Read the rest of this entry »
C’est idiot sans être marrant.
Un bijou en toc dans un écrin sublime.
Un film aux couleurs d’ombre.
C’était dans des temps très anciens…
Le mauvais génie.
Chaste Gomorrhe !
Ah Paris ! Toujours l’amour !
Plaisirs campagnards.
« Le vase où meurt cette verveine… »