À l’état brut
Qui ne s’est jamais trouvé dans la solitude d’une forêt en fin d’automne, avec, à la nuit précoce, l’obscurité profonde et d’apparence hostile, les bruits des arbres et des animaux, la crainte de s’être égaré (qui peut aller jusqu’à la panique), le sentiment d’être dans un univers différent du sage ordonnancement de la ville ? (suite…)