Aussi ennuyeux que dégueulasse.
Voilà un film vraiment détestable et même méprisable, pire encore que Bully de Larry Clark à qui l’on pouvait reconnaître certaines éminentes qualités, malgré l’omniprésence de la racaillerie intellectuelle qui le sous-tendait. Nowhere n’a rien de cela : : une collection d’infirmes mentaux, de dégueullasseries haineuses et d’incertitudes physiques. Les inconstances du cœur et de l’esprit (et du corps, bien, sûr et d’évidence) posées devant les nombreux protagonistes, tous emberlificotés dans leurs dépendances, drogues, sexes et amours. Pauvre souci de gamins abandonnés à eux-mêmes qui préfigurent notre pauvre aujourd’hui. Read the rest of this entry »