On ne joue pas comme ça dans la cour des grands.
De fait, de Jacques Deray qui a touché presque à tout, la carrière est abondante et les réalisations sont multiples. Bel artisan du cinéma, quelquefois avec des films superbes comme La piscine (1969), Flic story (1975), Un papillon sur. l’épaule (1978), On ne meurt que deux fois (1985), ou même Rififi à Tokyo (1962), Symphonie pour un massacre (1963). Mais aussi des histoires mal ou peu ficelées par exemple Borsalino, (1970), Le solitaire] (1987) ou Netchaiev est de retour (1991). Read the rest of this entry »