Sept petits nègres.
Week-end de terreur se situe au confluent de plusieurs riches veines romanesques et cinématographiques. Celle de l’élimination graduelle des protagonistes par une mystérieuse main assassine, dévoilée seulement à la toute fin de l’ouvrage. Mais aussi celle des adolescents fêtards du Nouveau Monde qui sont invités par une condisciple à passer un bon moment dans une très belle propriété isolée. Et encore celle de la gémellité et de la folie. Et on pourrait ajouter par dessus le marché celle des doubles retournements (je ne puis en dire plus sur ce dernier point sauf à dévoiler trop crûment l’astuce terminale). (suite…)
Le parapluie du colporteur.
Compte pour du beurre.
L’atrabilaire amoureux.
Scolaire.
Drôle de frimousse.
Verbeux, poisseux, ennuyeux.
Bonjour tristesse…
Fumée grise.
Le bout du chemin.