Jurassic park.
Quand les enfants sages lisaient avant tout ce que leurs parents avaient lu, Jules Verne ou Fenimore Cooper, aucun d’entre eux ne pouvait avoir passé au travers de cet immense succès de librairie qui s’appelait Ces dames aux chapeaux verts. Pour son premier roman, son auteur, Germaine Acremant, issue de la bonne bourgeoisie provinciale artésienne et née elle-même à Saint-Omer remportait le pompon : avec les innombrables éditions et rééditions, un million et demi d’exemplaires et des traductions en 25 langues. Une gentille, aimable, délicieuse satire des mœurs provinciales, rien qui puisse choquer, mais du mouvement, de la gaieté, de la fantaisie et, en fin de compte, une histoire qui, après bien des péripéties, finissait le mieux du monde, permettant aux amoureux, timides ou plus émancipés, de se trouver et de voguer vers les doux bonheurs des hyménées réussies. (suite…)
Ennuyeux comme une agonie.
Il n’y a plus d’après…
De l’audace, encore de l’audace…
L’invention du Zéro.
Bien ramolli.
La haine qui rôde.
« Tout le monde a ses raisons ».
Les malheurs de Sophia.
Au bout de la forêt coule une rivière…