La vie, mode d’emploi.
Il était temps que ça s’arrête et que, les époux Peyrac, Geoffrey (Robert Hossein) et Angélique (Michèle Mercier) enfin réunis, puissent hors de notre vue, poursuivre une existence qu’on leur souhaite harmonieuse, sereine, paisible. Et bien loin en tout cas des myriades d’horreurs qui leur ont été dévolues jusqu’à l’épilogue de ce cinquième et dernier épisode de la série filmée par Bernard Borderie sur la trame de la longue geste élaborée par Anne et Serge Golon). On commençait, finalement, à en avoir un peu marre de ces éternelles situations où Angélique échappe à grand peine aux entreprises libidineuses de tous ceux qui l’approchent et où Geoffrey, aussi talentueux et richissime que malheureux dans ses entreprises, échoue régulièrement à reprendre avec lui sa légitime qu’une suite d’invraisemblables malheureuses destinées lui retirait au fur et à mesure qu’il s’en rapprochait. Supplices de Tantale ou de Sisyphe aussi épouvantables que les Anciens les avaient conçus. (suite…)
Lettres de barbarie.
À grandes guides.
Le moteur ronronne.
Éclatant objet du désir.
De guerre lasse…
Petit paysage rigolo.
Monte là-dessus.
Le cinéma en pantoufles chaudes.