Venez visiter Little Italy !
J’étais à deux doigts de m’étonner, dans la première heure, que ce capharnaüm confus puisse figurer au rang des films importants salués par la critique. Mais, j’ai pu résister, je suis allé jusqu’au bout des presque deux heures ; j’ai trouvé que la fin du film était plutôt meilleure que le début, ce qui n’est pas si fréquent que ça. Et aussi j’ai parcouru les intéressants suppléments qu’offre le DVD, celui qui présente les huit pâtés de maison qui forment la mythique Little Italy new-yorkaise, celui où Martin Scorsese revient sur les lieux de son tournage, celui où sont montés et présentés les films d’amateur en Super-8 qui forment le générique. Mais surtout celui où le réalisateur parle lui-même de Mean streets, en commente la raison d’être, si l’on peut dire. Et là, les choses s’éclairent davantage. (suite…)
Violence des échanges en milieu patricien.
Fondu déchaîné.
Les routiers sont sympas.
L’abomination de la désolation.
Ploum ploum tralala
Fin de siècle.
Seuls les anges ont des ailes.
Capitale de l’ennui.