Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cible…
Je serais bien surpris que, pour inventer le personnage de Little big man, le réalisateur (ou plutôt, sans doute le romancier Thomas Berger, de qui le film est adapté) n’ait pas songé, davantage encore qu’à Candide, évoqué par beaucoup, à un des personnages majeurs de la littérature européenne : Simplicius Simplicissimus, héros effaré, assez niais mais nullement nigaud, qui erre parmi les horreurs épouvantables de la Guerre de Trente ans (1618-1648) dans l’Allemagne et la Bohême dévastées par les querelles des Grands qui s’asseyent en forme de prétextes sur le conflit religieux catholiques/réformés. Dans le roman de Grimmelhausen, comme dans le film d’Arthur Penn, il y a cette stupéfaction, cette sidération (dirait-on aujourd’hui) devant la violence et la cruauté de tous mais aussi un regard distant sur les abjections de l’existence et l’incapacité de comprendre vraiment ce qu’est et ce que veut l’Autre.
L’hyménée sauvage.
Le livre de la jungle.
Où l’enfer n’est pas loin.
Qu’est-ce qu’une comédie musicale sans bonne musique ?
Y’a pas de quoi rire…
Ça manque d’espace.
Le goût du saké, fade et tiède.
Trop malin pour être honnête.