Lumière d’été.
Les soixante-sept derniers jours de la vie de Vincent van Gogh (Jacques Dutronc) jetés à la figure du spectateur par Maurice Pialat avec une sorte de brutalité magnifique et un étrange film trop long. D’abord, si l’on n’a pas quelques lumières sur l’itinéraire du peintre, que comprend-on en voyant descendre du train le 20 mai 1890 à Auvers sur Oise un vagabond lunaire ? Un vagabond qui prend pension à la modeste auberge Ravoux et qui s’incruste peu à peu dans la famille du docteur Gachet (Gérard Séty), médecin désinvolte, ami des impressionnistes et collectionneur avide, qui a promis à Théo van Gogh (Bernard Le Coq) de s’occuper de son frère Vincent, qui vient à peine de sortir de l’asile d’aliénés de Saint Rémy de Provence. (suite…)
Portrait d’une exaspérante.
Le petit oiseau va sortir.
La nullité à l’état brut.
Des adolescents d’autrefois.
On n’est pas sérieux quand on a quatorze ans…
La guerre civile.
et j’ai le sentiment d’être plus encore embrouillé que je ne le craignais.
qu’on aime, toujours sur la ligne de crête des obscurités allusives, des ellipses énigmatiques, des ombres impalpables n’a pas, cette fois, franchement décroché pour passer carrément dans le n’importe quoi.
Une farce profonde.