Ça n’sert à rien de chercher à comprendre…
J’aimerais faire tourner Jean Gabin : il habillerait bien certains de mes personnages, disait déjà Georges Simenon en 1937. Et, de fait, la rencontre de ces deux monuments a forgé un bloc bien solide de très bon cinéma français. Adaptations souvent très infidèles au texte, mais la plupart du temps très conformes à l’esprit de romans naturalistes depuis La Marie du port jusqu’au Chat, en passant par La vérité sur Bébé Donge, Le sang à la tête, En cas de malheur. Et les trois Maigret, dont il ne faut retenir que les deux premiers, ceux tournés par Jean Delannoy, le troisième, Maigret voit rouge, réalisé par Gilles Grangier, ne méritant qu’un voile pudique. (suite…)
Élégant, léger, superficiel.
Pesant.
Quatorze heures de la vie d’une femme.
Le canular majuscule.
La petite bête qui monte.
Pincemi et Pincemoi sont dans un bateau…
Le jour qui naît, la nuit qui vient…