La part des pauvres.
Repassait hier soir à la télévision ce film un peu maladroit, un peu guindé, et en même temps un peu trop spectaculaire (c’est-à-dire sachant bien là où il faut appuyer pour émouvoir) mais qui, en même temps, met en scène un si grand personnage qu’on n’a pas le cœur de lui reprocher quelques défauts de construction et de mise en scène. Au fait, il y a tout de même quelque chose d’un peu désespérant dans ce retour au passé et nos yeux grands fermés. Le film de Denis Amar, intitulé donc Hiver 54, l’abbé Pierre date de 1989. Trente ans auparavant, en 1957 et avec les concours du véritable prêtre, Robert Darène réalisait un bien chaleureux film, Les chiffonniers d’Emmaüs. Qu’est-ce qui a changé et qu’est-ce qui ne change pas dans notre monde, où, à part de rares courtes périodes, les tentes de survie et les bidonvilles ne disparaissent jamais de l’espace public ? (suite…)
Pourquoi pas ?
Et au milieu coule une rivière…
Histoires de la nuit.
Aussi pesant que le ciel de Glasgow
Dernier été avant poursuites.
La mort à portée de la main.
La fontaine du caramel mou.
Quand l’alouette s’envole.
Le bout du monde.