Breakfast in America.
Mon glaive vengeur et mon bras séculier ont plutôt tendance à s’abattre au moment où le film que je regarde s’étire, s’allonge et me paraît interminable, quelle que soit la durée du métrage, au demeurant. Et voilà que pour une fois, mon humeur qui était du genre morose et même morosissime s’est vaguement éclairée au moment où l’on parvenait au dernier quart d’heure. La chose est assez rare pour être relatée, mais il ne faudrait pas penser pour autant que j’ai passé un moment agréable en compagnie d’une troupe de laveurs de voiture, généralement noirs, dans un faubourg assez minable de Los Angeles. (suite…)
Le protocole et les usages.
Dans la chaleur de la nuit.
Sans épine et sans parfum.
Noir, c’est noir !
Grands méchants loups.
Clic-clac Kodak !
Comédiens sans le savoir.
Le passé d’une illusion.
Tout ça pour ça !