Quelle drôle de gosse !
Je ne suis pas certain que si le générique du film ne m’avait séduit, grâce aux noms révérés d’Audrey Hepburn et d’Humphrey Bogart (et, dans une moindre mesure celui de William Holden) j’aurais regardé avec un préjugé favorable Sabrina. Je ne suis pas certain non plus que, sans eux, je n’aurais pas trouvé bien banale cette histoire au dénouement archi-prévisible, malgré ses assez habiles péripéties qui sentent néanmoins beaucoup le théâtre (et de fait le film est tiré d’une pièce d’un certain Samuel A. Taylor). (suite…)
Krieg, gross malheur !
Et il aurait pu y rester…
Désert sans solitude.
Si non è vero…
Fighting in the rain.
Sans toits ni lois.
Une femme disparaît.
Le souffle court.
Piccolissima serenata.