Ravages.
Il me semble vraiment qu’il faut avoir un certain goût pour le cinéma italien et pour un de ses plus éminents réalisateurs, Dino Risi, pour apprécier à sa mesure ce premier volet d’une trilogie optimiste. Car après Pauvres, mais beaux, en 1956, sont venus Belles, mais pauvres, l’année suivante, et enfin Pauvres millionnaires en 1959. Il y a encore l’impulsion du néo-réalisme, il n’y a pas tout à fait le regard de la comédie à l’italienne. On pourrait qualifier tout cela de néo-réalisme optimiste ; on sent en tout cas que quelque chose bouillonne, en Italie et qui apportera au cinéma mondial bien davantage que les errements de la Nouvelle vague française, pourtant bien davantage célébrée. (suite…)
Vies libérées, vies gâchées ??
L’aiguille creuse.
Le babilan intrépide.
Méfiez-vous des chutes !
Parodiant une séquence récurrente de la mythique émission
La fête des fripouilles.
Le masque de la mort rose.
Le bruit et la fureur.