
Affiche
Le Führer en folie.
Il me semble bien que c’est là le seul film que j’aie jamais vu de Mel Brooks, le seul aussi de Zéro Mostel et de Gene Wilder. Des noms, pourtant que je connais mais qui, vérification faite sur Wikipédia, confirment que je suis absolument étranger à ces artistes pourtant fort drôles. Je suis bien incapable d’expliquer pourquoi, d’autant que Les producteurs, vus à leur sortie à Paris, en 1971 (et je me souviens même où : à L’Arlequin, rue de Rennes) m’avaient fait bien rire. Voilà qui fait partie des mystères profonds d’une vie de cinéphage, voué à avaler tout et n’importe quoi, non selon un plan raisonné de découvertes des genres ou des auteurs mais en fonction de ses vagabondages et de ses toquades, justifiés ou non. (suite…)
Une journée particulière.
Puits sans fond.
On n’est pas sorti de l’auberge !
Mariage sanglant, mariage pétulant !
Je te tiens, tu me tiens, par la barbichette…
Des chats et des souris.
Douceurs de l’hyménée.