Coups tordus, coups fourrés, coups ratés
Est-ce que j’aurais davantage apprécié Quantum of solace si, avant de regarder le film, j’avais su qu’il s’agissait d’une suite directe de Casino Royale où, en 2006, Daniel Craig faisait ses premiers pas dans le rôle ? Le sachant, donc, je me serais évertué à relire le long, très long, interminable résumé du premier film publié sur Wikipédia par un quidam bienveillant mais fort peu clair ; j’aurais donc resitué plus aisément des personnages de Quantum qu’ils soient seulement évoqués (Vesper Lynd) ou incarnés, M. White (Jesper Christensen) ou René Mathis (Giancarlo Giannini), qui m’ont semblé apparaître dans le courant du récit comme de la soupe sur les cheveux. (suite…)