Le propos de Luis Bunuel est, comme toujours d’une grande complexité. d’une grande ambiguïté, même. Et il n’est jamais exempt de contradictions internes.
En présentant le pauvre prêtre Nazario (Francisco Rabal) comme pleinement disciple de l’enseignement du Christ, parallèlement en le montrant, dans sa démarche, continuellement victime et perturbateur de l’ordre social, il pense marquer une fois de plus son anticléricalisme farouche. C’est là qu’il se bute à la réalité. Read the rest of this entry »









