Toujours aussi mal barrée, la Révolution…
Ce n’est pas si mauvais que ça, en fait. C’est très insuffisant, fondé, il est vrai, sur un scénario à la limite inférieure de la débilité mais irrigué tout de même d’assez jolies cruautés et de quelques images intéressantes. Pauvre Mexique disait je ne sais plus qui, si loin de Dieu, si près des États-Unis… et il est vrai que tout ce qui tourne autour de ce pays singulier marqué, un demi millénaire plus tôt par les horreurs aztèques, ne laisse pas indifférent. Et ce n’est pas pour rien que le grand Sam Peckinpah, avec toute son amertume, en a fait sa terre de prédilection. Ou d’épouvante, si l’on préfère. Et on a raison de préférer ceci à cela, plus épouvante que prédilection. Read the rest of this entry »