De bons petits diables.
Comment se fait-il que je ne me sois pas ennuyé une seconde devant Casino et que j’aie trouvé Le loup de Wall street interminable ? Les deux films de Martin Scorsese ont une durée analogue de près de trois heures et explorent l’un et l’autre les tréfonds de la bassesse friquée, bien flanquée des dépendances parallèles de la drogue et au sexe. On voit dans l’un et l’autre la morgue étasunienne et l’adulation du dollar, le mépris des pauvres gens – c’est-à-dire des gens honnêtes – et la marche infernale vers la chute terminale. Dans l’un et l’autre il y a des acteurs de grande qualité et des filles superbes, Robert De Niro et Sharon Stone ici, Leonardo DiCaprio et Margot Robbie là. Read the rest of this entry »
Une noyade.
Sidérant.
Les enfants de la Louve.
Été et fumées
Que diable allait-il y faire ?
L’invention d’un Zéro absolu plus qu’absolu.
La pluralité des mondes.
Les virtuoses.
Capitale de la douleur.