À la merveille.
Le plus beau palais qu’on ait jamais vu sous le ciel, montré par Gérard Corbiau, d’une façon subtile et intelligente ; l’extraordinaire splendeur des lieux, bâtiments, escaliers, salons, bosquets, jardins présentée par un réalisateur qui ne se contente pas de donner au spectateur de belles images, des soleils qui se couchent sur les grands miroirs d’eau et les façades arrogantes, des gros plans sur la merveilleuse élégance des modillons, des revêtements, des galeries, des tableaux, des plafonds peints, des glaces, des meubles, des horloges, des porcelaines, des bibelots. Cette sublime attention aux plus obscurs des détails, à ce que l’on voit et qui éclate, mais aussi à ce qui paraît dissimulé mais que l’artisan qui l’a réalisé tient à honneur de réaliser dans une forme de perfection. Read the rest of this entry »
Le chemin du paradis.
Logique de la catastrophe.
La plus belle histoire jamais contée.
Le pays où on n’arrive jamais
Tout finit comme il faut.
Femmes sans hommes.
Tagliatelles et risottos
En roue libre et en pente douce.