Le pays de la création inachevée…
On ne peut pas ne pas trouver les points communs évidents qui relient dans l’œuvre de Werner Herzog deux de ses films majeurs, Fitzcarraldo et Aguirre
mais il ne faudrait pas tomber dans le panneau consistant à en chercher méticuleusement ressemblances et oppositions, inspirations et changements de cap. C’est un exercice où il faut essayer de tenir la ligne droite et d’être rigoureux, parce que Klaus Kinski, l’enfer vert de l’Amazonie, la brume revêche, les fleuves rugueux, les rapides terribles et les indigènes interloqués, ça fait tout de même beaucoup. (suite…)
Ouh là là, quelle audace !
Et qu’est-ce qu’on peut y faire ?
« Petit garçon il est l’heure d’aller se coucher… »
L’incertitude.
Un parfum de jasmin.
La mer qu’on voit danser.
Navet cuit à l’eau.
Il paraît que la terre ne ment pas.
Un film munichois ?