C’est idiot sans être marrant.
J’aimerais bien aller dans le sens de ceux qui ont entrepris de ne pas accabler ce cinéma bon enfant, qui a été indispensable au cinéma tout court, qui avait besoin de sa simplicité, de ses vedettes, de ses truculences pour que puissent émerger des œuvres plus ambitieuses et mieux tenues. J’aimerais bien trouver dans le foisonnement des acteurs de second rang, tous plus sympathiques et talentueux les uns que les autres des raisons de défendre Le trou normand, son récit bonhomme, la douceur paisible des villages de 1952, les bistrots où la société se retrouve, les écoles peuplées de garnements obéissants (faux oxymore volontaire) et la religion du certificat d’études qui valait bien autant qu’un baccalauréat d’aujourd’hui. (suite…)
Un bijou en toc dans un écrin sublime.
Un film aux couleurs d’ombre.
C’était dans des temps très anciens…
Le mauvais génie.
Chaste Gomorrhe !
Ah Paris ! Toujours l’amour !
Plaisirs campagnards.
« Le vase où meurt cette verveine… »
À la merveille.