Les corridors inouïs de l’Histoire.
On ne parle plus guère aujourd’hui de Robert Enrico qui avait pourtant commencé sa carrière de réalisateur par un chef-d’œuvre du court métrage, La rivière du hibou et l’avait émaillée de bons ou très bons films (Les grandes gueules, Le vieux fusil), de moins bons qui furent pourtant de grands succès publics (Les aventuriers, Boulevard du Rhum). On lui doit aussi le tour de force d’avoir réalisé la première partie,intitulée Les années lumière, du diptyque La révolution française, financé par la mission du Bicentenaire de la Révolution de 1789 ; tour de force pour avoir montré, alors que tout le monde s’attendait à un panégyrique bêlant, toutes les saletés de cette période nauséabonde (et le deuxième volet, Les années terribles, de Richard T. Heffron enfonce encore le clou du cercueil).
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