La voie des masques.
Le cinéma a fait une riche moisson dans les histoires d’amants criminels qui, constatant que leurs époux et épouse respectifs constituent une grave gêne pour leurs voluptueux radadas se résolvent, sans y voir malice, à envoyer ad patres ces obstacles exaspérants. J’ai l’assez médiocre film de Claude Chabrol Les noces rouges en tête, comme ça, sur le moment mais on devrait pouvoir en dresser une liste considérable. Une liste qui emprunterait à tous les pays et à toutes les époques. Après tout, la situation est d’une telle banalité et les velléités fantasmatiques si vraisemblables (on n’ose pas dire si compréhensibles) qu’on n’est pas mécontent de trouver représentée au cinéma une folie si commune. Read the rest of this entry »
Le fin fond du marécage.
Sans queue ni tête, mais avec DD.
La part des pauvres.
Pourquoi pas ?
Et au milieu coule une rivière…
Histoires de la nuit.
Aussi pesant que le ciel de Glasgow
Dernier été avant poursuites.
La mort à portée de la main.