Quelle bonne surprise !
Voilà un petit film charmant, drôle, gai et, avant tout, malin, que je noterais un soupçon davantage s’il ne souffrait d’une faille annexe – la présence, quasi obligée à cette époque, il est vrai, du bafouillant Darry Cowl dans un rôle très mineur, mais déjà pénible – et surtout d’un grave défaut : la mièvrerie catastrophique du jeune premier, Gérard, imposé par la partie italienne de la coproduction, l’insignifiant Roberto Risso. (suite…)