Heureusement bref, malheureusement idiot.
Il me semble possible d’apprendre sur une époque tout autant en regardant de très mauvais films qu’en regardant de bons. Et si ça se trouve même, davantage tant on a des perspectives tout ouvertes sur certaines dispositions bizarres de la nature humaine, notamment du mauvais goût des spectateurs d’une époque ; le pire que j’en ai été et je me souviens, presque soixante-dix ans plus tard combien Plus de whisky pour Callaghan avait emballé le môme dévoreur de cinéma que j’étais. Emballé notamment par le jeu de mots terminal dont je vous dirai un mot un peu plus avant si vous avez la faiblesse de me lire.
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