La compagnie des poncifs.
On n’est pas si cohérent qu’on croit l’être. Il y a quelques années, j’avais jugé, avec beaucoup d’autres, que L’héritier était un film très honorable ; et après l’avoir revu l’autre soir, j’ai été effaré par ce tape-à-l’œil très années 70 et ses vertueuses indignations où un pur chevalier, dès l’abord menacé par séides et sicaires du grand patronat, avec la complicité passive du Vatican, s’efforce de démonter une vaste conspiration. (suite…)