De jolis souvenirs un peu minces.
Je conservais un souvenir très ancien et estompé du film, sans doute un peu trop noyé, précisément dans la brume dorée du passé, le cadre magnifique de la Haute-Provence, la beauté adéquate de la musique de Mozart et la blondeur lumineuse de Marie Dubois.
Tout cela, capté sur une chaîne de télévision et revu l’autre soir avec bienveillance et attention, demeure, mais ne suffit tout de même pas à hausser La maison des bories au rang que je pensais.