Allergie bizarre.
Pourquoi ai-je été agacé, ennuyé, même, par Mort à Venise que tout devrait me faire aimer, le style du récit, son ambiguïté, l’atmosphère fanée de la lagune, la merveilleuse élégance des tenues fin-de-siècle, l’intelligence des relations policées, ritualisées, affectées de ce monde de 1911 qui va s’écrouler trois ans plus tard et ne reviendra plus jamais ? C’est curieux de regarder un film qui devrait vous plaire et qui vous glace, non ? (suite…)








