Charmant divertissement
On ne peut pas ne pas faire le rapprochement d’évidence avec Le gentleman d’Epsom, sorti dix-huit mois plus tard et qui, me semble-t-il, demeure un peu davantage dans les mémoires. Dans l’un et l’autre film, un vieux viveur de grande allure, qui a brûlé la chandelle par les deux bouts, a été aimé par les plus jolies femmes, a dépensé des fortunes, a soutenu des banco de folie, guidé par le seul goût du jeu et du plaisir, se retrouve à un moment fragile de sa vie, à une heure où, qu’il s’illusionne ou non, l’existence va devenir de plus en plus lourde.