Rose bonbon.
Il y a deux choses intéressantes dans The Mist : l’inventive variété des monstres et l’absolue désespérance de la fin. Cela étant, est-ce que ça justifie l’assez banale dispersion sur deux heures de temps d’une assez banale histoire ? Sans doute oui, si on a un bout d’après-midi paresseuse à passer et un goût prononcé pour les films d’angoisse ; sans doute non si on ne dispose que d’un temps limité et si on n’est pas attiré par les brutalités sanguinolentes. Mais on peut penser aussi qu’une des qualités du filment la possibilité d’empathie qu’on peut avoir avec les personnages représentés. Comment réagirais-je, moi, si… ? (suite…)