La fin du film, à la fois sommaire, évidente (dans le contexte de l’époque) et démonstrative, me fait baisser d’un point une note que j’aurais voulu plus excellente encore.
Je n’avais vu le film qu’une fois, à sa sortie en France, en 1955, et je n’y avais vraisemblablement pas compris grand chose. Ensuite j’ai longtemps éprouvé une certaine méfiance vis-à-vis du personnage de Marlon Brando ; et tout cela m’avait retenu hors de ces Quais
que j’ai trouvés sacrément bien faits, prenants et intelligents ! (suite…)