La carrière d’acteur de Jacques Perrin
a connu quelques réussites éclatantes, de La 317è section
à Cinema Paradiso
en passant par Les demoiselles de Rochefort.
Sa carrière de réalisateur-producteur-scénariste-documentariste a commencé par un véritable chef-d’œuvre de sensibilité et de montage, Les enfants de Lumière
, qui, en 1995, pour le centenaire de son invention, donnait un florilège éclatant du cinéma français, pure merveille indispensable. (suite…)


, il y a trois années de grâce ; après le médiocre
, avant l’atterrant
, il y a
,
,
.
, le deuxième, d’un roman de
, à son talent protéiforme, à son génie des mots, des situations, de l’empathie avec les acteurs, à sa capacité de distance avec les banalités bien-pensantes (on dirait aujourd’hui politiquement correctes). 
est le premier vrai film où
sort de son image de charmeur à l’œil de velours et à la moustache conquérante (qu’il reprendra souvent, singulière dichotomie, lorsqu’il ne sera qu’interprète de films tournés par d’autres) et devient un grand cinéaste inspiré, et souvent bouleversant. 
est un bûcheron illuminé d’un amour profond pour le cinéma qui, grâce à cette passion a, ici et là, semé quelques films admirables (
,
,
,
), réaliser quelques grands succès intéressants (
,
) et quelques ratages accablants (
,
)… 
, une de ses premières œuvres, et donnée par lui pour assez médiocre, pour me souvenir si l’adaptation d’
a de l’exactitude ; je doute toutefois qu’il présente de façon aussi sommaire le drame des guerres de l’Ouest, terres de fidélité à la religion et à l’ancienne monarchie, ravagées par le totalitarisme idéologique révolutionnaire, moins, il est vrai, en Bretagne que dans les territoires de la Vendée militaire, Anjou, Maine et Poitou. 
et j’ai espéré vainement, pendant toute la re-vision du film que j’allais vraiment accrocher et me glisser dans la bizarrerie délicieuse de l’histoire ; je dois dire que, sauf, épisodiquement, je n’y suis pas parvenu. 
n’ira sûrement pas plus loin et, stupéfait par la médiocrité de
et – plus encore ! – de
, qui fut un petit succès d’estime mais relégua aussi le flamboyant réalisateur de
: collection de mots, de scènes obligées par la légende historique, d’acteurs majeurs incarnant de petits rôles : 
, même si on l’a déjà vu plusieurs fois.
Niais.
, tout aussi affligeante production de troisième zone d’un
, qu’on a connu mieux inspiré, les seuls quinquets qu’on puisse apercevoir, dans la nuit abyssale, sont ceux qui éclairent les deux personnages féminins.