
Navrant, désolant, accablant…
Hélas, navrant, désolant, accablant et mon 0, s’il le pouvait serait encore plus sévère et se situerait largement au dessous de l’absolu !
Il faut bien dire, aussi, que je ne me faisais aucune illusion : depuis la sortie du film, il y a huit jours, je n’ai pas lu un seul mot, dans une seule critique qui défende, justifie, excuse ce monument d’inanité. Pas un mot dans pas une critique alors qu’on sait bien que les attachés de presse ont du talent pour obtenir des journaux que deux lignes, une expression, un adjectif, détachés de leur contexte, puissent permettre d’attirer le gogo.
Je suis allé voir, donc, La possibilité d’une île
en toute connaissance de cause et j’ai assisté, dès les premières séquences à l’immédiate survenue d’un naufrage certain.
(suite…)