Quatre saisons de nostalgie.
Lorsqu’un grand documentariste pose sa caméra un peu par hasard sur un calme village français de 1963, voilà que ça donne une manière de petit chef-d’œuvre tendre, émouvant, charmant, drôle. Un moyen métrage qui a pour seul tort de nous entraîner une fois de plus dans les chers méandres du C’était mieux avant ! ; c’est-à-dire de nous présenter une société, une civilisation si harmonieuses qu’on en viendrait presque à détester notre minable aujourd’hui. (suite…)