Du sang, de la volupté et de la mort.
L’opinion générale est donc que les deux derniers films de la saga Dracula mise en scène par la Hammer ne valent pas tripette et qu’il faut les jeter à la voirie. Je dois dire que je partageais ce point de vue après les avoir découverts au cinéma en 1970. Comme tout le monde, je demeurais dans la fascination absolue du chef-d’œuvre du genre, Le cauchemar de Dracula où l’extraordinaire présence maléfique de Christopher Lee, la qualité des autres interprètes (Peter Cushing), la beauté chatoyante des décors et des éclairages, la vivacité de la réalisation de Terence Fisher permettaient l’aboutissement d’une œuvre insurpassable dans le genre. (suite…)