Oh là là !
Je dois couver quelque chose en ce moment. Qu’est-ce qui peut, sinon, expliquer qu’en quelques jours je me sois livré à une sorte de délectation morose en visionnant deux nullités majuscules, l’une prévisible, Un amour de Frankenstein, l’autre évidente, le Marius de Daniel Auteuil, qui s’escrime à esquinter la bonne réputation d’acteur acquise au cours des trois dernières décennies en salopant l’œuvre de Marcel Pagnol. (suite…)