Faut-il réduire les femmes en esclavage ?
Quand on a un peu de bouteille, d’expérience, dans le domaine du cinéma, on retrouve sans grand mal les bases théoriques du film. Deux êtres, absolument différents, absolument clivés par les choses de la vie, à la faveur de circonstances à peu près invraisemblables, se trouvent l’un en face de l’autre. Et là, plus rien n’est pareil et une sorte de pulsion charnelle, primale, en fin de compte animale les jette l’un vers l’autre. Mais la civilisation, ses pompes et ses œuvres, ses contraintes, ses tristesses et ses plaisirs est là pour bien montrer le chemin qu’il faut prendre. Rien que de banal.