L’entre-soi.
Sur le site de Arte, où j’ai vu le film, Terror 2000 est présenté comme une farce grinçante d’une Allemagne réunifiée confrontée à sa propre violence. On reconnaît bien là le jargon du Camp du Bien et la vigueur militante des rédacteurs qui passent indifféremment des Inrockuptibles à Télérama, de Médiapart au Monde diplomatique. À dire vrai, j’ignore si ces deux dernières publications comportent une rubrique cinématographique, mais je suis absolument persuadé que si c’est le cas, le film de Christoph Schlingensief doit y avoir été recensé et célébré. Car, chez ces gens-là, on sait se tenir les coudes.
L’Afrique à nu.
Mettons la guerre hors la loi, fouchtra !
La cabale des dévots.
La ville est un échiquier.
Comment l’esprit ne vient pas aux garçons.
Pesante Vertu.
Car déjà la nuit tombe…
Deux cavaliers de l’orage.
Cantique de la marmaille.