Massacre champêtre bon enfant.
Ça fait bien des années que ce titre magnifique de 2000 maniaques, sardonique et inquiétant me trottait dans la tête. J’en avais lu, au temps jadis, dans je ne sais quelle revue de cinéma parallèle, un éloge déterminé, j’en avais apprécié le sujet – le massacre par toute la population d’une bourgade d’Arkansas de malheureux Yankees égarés – et je savais que son réalisateur, Herschell Gordon Lewis était considéré comme le créateur du cinéma gore. (suite…)








