La fin du film, à la fois sommaire, évidente (dans le contexte de l’époque) et démonstrative, me fait baisser d’un point une note que j’aurais voulu plus excellente encore.
Je n’avais vu le film qu’une fois, à sa sortie en France, en 1955, et je n’y avais vraisemblablement pas compris grand chose. Ensuite j’ai longtemps éprouvé une certaine méfiance vis-à-vis du personnage de Marlon Brando
; et tout cela m’avait retenu hors de ces Quais
que j’ai trouvés sacrément bien faits, prenants et intelligents ! (suite…)

Insignifiant.


aujourd’hui, si la performance bluffante de
n’avait été conservée dans toutes les mémoires ? 
Soleils joyeux de la Provence.
, adaptation de quelques unes des immensément connues des Lettres de mon moulin du nîmois
, adaptation qui apparaissait presque, en 1954, comme une évidence, en une époque où trois quarts de siècle de félibrige, de cigales, de lavande, d’aïoli et d’accent parfumé avaient porté la Provence en une sorte de pinacle imaginaire jamais égalé depuis lors : les films de
(si critiquables et ambiguës qu’elles ont été ; voir plusieurs débats que nous avons eu sur ce point, notamment sur le fil de
), mais aussi toute la troupe des artistes marseillais, et puis
,
,
, ainsi de suite… 

