La curiosité et un vilain défaut.
Il faut rendre hommage au contributeur inconnu de la notice d’Alphaville sur notre amie Wikipédia, contributeur qui parvient à discerner un scénario dans ce monument d’inanité et d’ennui qui n’a comme seule qualité que d’être assez bref (1h35). Cela étant dit, l’histoire exposée est d’une telle banalité, elle est si tributaire de l‘air du temps (celui de 1965, bien sûr) que son éclaircissement n’a aucune espèce d’importance ; elle fait penser aux pires romans de science-fiction de Philip K. Dick, ces ennuyeuses dénonciations d’un monde où la science, la rationalité, la technique ont remplacé l’élan vital de l’Humanité. (suite…)