Nous sommes tous des Chiche Capons !
On peut évidemment relier Les disparus de Saint Agil à la riche, longue liste des films de jadis dont la scène est le pensionnat, théâtre commode, parce que clos, d’intrigues et de passions : Zéro de conduite, Les anciens de Saint Loup, La Cage aux rossignols, Topaze, Les diaboliques, et même Au revoir les enfants (liste sûrement loin d’être exhaustive !). Mais on peut aussi rattacher le film de Christian-Jaque à une autre lignée : celle des enfants et adolescents détectives, celle où des jeunes gens (et quelques jeunes filles) munis de courage et d’astuce parviennent à faire la vérité sur un mystère, quelquefois même un crime… (suite…)