Outrancier, slave et mexicain
Que serait donc Que viva Mexico si Eisenstein avait pu tourner le film jusqu’au bout de son projet, le monter, le sonoriser différemment ? S’il n’avait pas été interrompu par le retrait du commanditaire du projet, le romancier socialiste Upton Sinclair qui saisit les milliers de mètres de pellicule déjà tournés, qui n’ont été récupérés que quarante ans plus tard et mis bout à bout tant bien que mal ? (suite…)