La violence des jours communs.
Lorsque j’ai glissé le Blu-ray dans mon lecteur, après avoir lu sur la jaquette que j’en avais pour sept heures environ, au gré de huit épisodes de 45 minutes à peu près, je me suis demandé si, avec le beau temps qu’il y a en ce moment à Paris, je n’allais pas diluer le feuilleton sur plusieurs jours. Bernique ! En moins de quarante-huit heures, toute cette première saison de Broadchurch avait été engloutie sans qu’on puisse y trouver une rupture de rythme ou une décrue de l’intérêt.








