À force de tutoyer l’obstacle…
J’écrivais dans mon message sur le premier volet de Soleil trompeur 2 qui s’intitule L’Exode, ma perplexité devant le choix de Nikita Mikhalkov
d’agglutiner les personnages du drame intimiste sur fond historique qu’est l’admirable Soleil trompeur
de 1994 et la fresque historique gigantesque, démesurée, même qu’il tourne avec sa suite. Je disais concevoir que le réalisateur ait choisi de plonger les personnages du premier opus dans la tragédie de la guerre, de sa violence collective, de la sauvagerie imbécile de ses massacres, de ses champs de bataille dévastés mais n’être pas très convaincu du résultat, qui m’a semblé artificiellement conduit. (suite…)