Le bois des amants.
Après avoir vu Blanche Fury, je ne suis pas loin de réévaluer (à la hausse, évidemment) le cinéma de Marc Allégret que je n’avais pas en grande estime jusque là, malgré Entrée des artistes et Félicie Nanteuil, mais à cause d’œuvrettes qui ont pu avoir du succès, comme Zou-zou , Lac aux dames ou Gribouille, vraiment trop mal fichues et conçues, bien qu’elles ne soient pas, ici et là, dépourvues d’un certain charme. (suite…)