La poussière des murs qui s’effritent.
Avant d’écrire quoi que ce soit, j’ai lu plusieurs commentaires déposés ici et là par de précieux amateurs.
Avant de lire, j’étais plutôt dans la ligne de ceux qui s’interrogent sur la lenteur de la progression dramatique, la répétitivité des séquences violentes et ce qu’on peut appeler le caractère statique du récit. Mais après avoir découvert d’autres fortes argumentations, je m’interroge et je me demande si les défauts recensés en sont bien et s’ils ne participent pas, au contraire, de la qualité du film… (suite…)